Amandine Ferrato : une championne épanouie et investie

Récente vainqueur il y a quelques jours seulement du LUT (Lyon Urban Trail) sur la distance la plus longue et la plus exigeante (37 km, 1400 D+) et adhérente individuelle à notre association depuis quelques mois, Amandine Ferrato se confie dans une interview rafraîchissante.

  •    Bonjour, peux-tu te présenter brièvement ?

Je m’appelle Amandine Ferrato, j’ai 38 ans et je suis assistante commerciale dans une société qui fait de la commercialisation de travaux héliportés.

Je suis originaire de la Drôme (Montélimar) et je suis une athlète faisant partie du Team HOKA One.

  •     Quels coins préfères-tu pour t’entraîner ?

J’aime beaucoup Chamonix, je suis amoureuse du Var également, mais essentiellement je m’entraîne le plus souvent dans la Drôme.

  •     Pour toi, courir utile c’est quoi ?

Pour moi, courir utile c’est quand tu vois un déchet, tu le ramasses et tu contribues à respecter la nature dans laquelle tu apprécies de courir !

Courir c’est bien mais courir utile c’est mieux ! Il faut respecter la nature et montrer l’exemple au quotidien en ramassant les déchets. Je pense qu’il faut que chacun apporte sa pierre à l’édifice pour respecter la nature et l’environnement. Pour imager cela, c’est un peu comme le colibri, ce minuscule oiseau qui va de fleur en fleur pour collecter du nectar.

  •   Quelles sont tes autres passions ou hobbys en dehors du trail ?

Je fais beaucoup de vélo, mais également de l’escalade et la moto. Plus occasionnellement, il m’arrive de faire de la plongée.

Au delà du sport, je suis passionnée de permaculture, qui permet de construire des habitats humains durables en imitant le fonctionnement de la nature.

  • Quand as-tu rejoint TRF et comment as-tu connu cette association ?

J’ai rejoint TRF en Septembre 2018 à l’occasion du Trail de Porquerolles, j’ai rencontré Marianne, la femme de Nicolas, co-fondateur de l’association TRF à ce moment là.

J’ai gagné la course au général et je suis allé cherché mes collègues masculins et féminins sur la course, elle m’a alors parlé de l’association et ensuite après j’ai rencontré Nicolas également et j’ai adhéré de suite au concept.

C’était une découverte un peu par hasard au final, mais ça devait se faire je pense. (rires)